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jeudi 8 novembre 2012

Silence






d’après une sculpture de Louise Bourgeois, The Welcoming Hands, 1996, jardin des Tuileries




10 commentaires:

  1. Des mains qui se joignent et un beau traitement de cette oeuvre .
    Gros bisous Anne

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    1. Parfois la sculpture parle au-delà de son auteur. C'est en cela qu'elle reste vivante, dans ses multiples échos...

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  2. Voilà une sculpture qui ne peut laisser indifférent. Elle parle et crie en silence. Amitié. Joëlle

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    1. Elle est beaucoup plus tendre en réalité, toute de bronze et de douceur. Mais j'ai entendu un cri... Amitié à toi Joëlle.

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  3. Juste un silence à partager...
    Merci pour cette image, Anne.

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  4. Comme un désespoir, comme un abandon, cette photo crie et murmure à la fois une tendresse qui se cache au fond d'une grande douleur. Ce que tu as ressenti de l'expo ? Amitié

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    1. Je crois que c'est une de ces rencontres silencieuses... Au sortir de l'expo se murmurait cette paix infinie de l'artiste, cette vie en lui (ce tableau si lumineux). Au détour d'une photo prise voici plusieurs mois, j'ai entendu ce cri, son cri. Alors je l'ai retravaillée, dans cette supplique d'écoute et de tendresse... Amitié

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  5. Des mains se sont cherchées et se sont trouvées, attachées par un cri qui ne s'exprimera jamais. Les sensations sont visibles et cette belle oeuvre aussi bien interprétée par ta photo, nous laisse imaginer les raisons de leur union. Bon week-end. Suzâme

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    1. Je ne suis pas certaine qu'il y ait besoin de son pour que le cri s'exprime et qu'une main s'élance... Bonne soirée

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