Une petite brise
qui se nourrit
grossit
s’amplifie
au fil des obstacles
les engrange
écume
se gorge
des ronces
récifs rencontrés
pour les vomir
dans cette tempête
d’un cœur
qui se
déverse
sur le premier
roseau
venu
un frémissement
une tige
se penche
vers l’onde
la source
jusqu’à
percevoir
ce souffle
la paix des eaux
du vent
et
dans sa coupe
les offrir
les offrir
Les anciens disent: petite pluie abat grand vent. N'est-ce pas cette ondée d'amour qu'il faut pour apaiser la tempête des émotions ? Amitié. Joëlle
RépondreSupprimerIl ne manque plus que la photo ..mais il suffit de fermer les yeux et se laisser porter par ce vent ..je l'adore moi "ce vent "
RépondreSupprimerBises Anne
on préfère quand le mistral ne souffle pas
RépondreSupprimerle vent est nécessaire parfois quand il fait chaud mais on pourrait s,en passer parfois surtout l'hiver quand il refroidit beaucoup la température.
RépondreSupprimerÀ bientôt Anne et c,est un beau texte.