Il était las
assis sur une roche
assis sur une roche
les yeux
creusant
le ciel
creusant
le ciel
Au cœur du
minéral
il avait
cru
puiser
puiser
la force
de l’âme
par l’astre
solaire
il avait
pensé
être
inondé
du
mystère
et
et
rien ne
se disait
Il était
las
assis sur
une roche
lorsque
son regard
s’abaissa
Il vit
une brindille
chétive
qui
cernée par
la rocaille
résistait
Il se
tut
Il
comprit
Tout
affleurait
dans la
fragilité
et
le grand
silence
le grand
silence
Que c'est beau !!!!
RépondreSupprimerMerci Anne
Un très grand merci à toi, Claudine. Belle soirée
SupprimerMagnifique....la brindille , si tenue et si forte !
RépondreSupprimerDouce soirée Anne
Comme un petit chemin... Merci Andrée !
Supprimercomme c'est beau il a droit au repos et à admirer la nature après avoir bien marché
RépondreSupprimerIl a déjà admiré la nature et ressenti bien au-delà !
SupprimerPour moi Anne, cette brindille c'est toi. Cela peut te surprendre, mais elle a la subtilité, ta finesse, ton courage, ta tenacité, ton espoir... Belle journée à toi. Amitié. Joëlle
RépondreSupprimerJ'ai hésité à publier ton commentaire, tes mots qui me touchent et murmurent à la brindille cette force-là de l'humilité. Je t'envoie bientôt ce texte pour ces "souffles". Merci, merci infiniment à toi Joëlle. Amitié. Anne
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