L’arbre
frémissait
à la
lisière
de
l’automne
Il
regardait
les
feuilles
le
quitter
s’inquiétait
se
demandait
où
elles allaient
elles allaient
Etait-ce
reniement
reniement
balbutiement
Il se
penchait
ses
racines le retenait
en cet
équilibre
si
précaire
Il les
voyait
tomber
s’effondrer
à même
le sol
tendant
l’oreille
il
comprit
qu’elles
se confiaient
à la
terre
pour
offrir
et
devenir
Heureux
il osait
se dénuder
se redresser
Ne pas avoir peur du dépouillement... l'arbre est un maître en la matière. Amitié Anne
RépondreSupprimerAuprès de l'arbre, j'apprends toutes les saisons. J'aime ton regard et ton interprétation. L'arbre nous dit qui nous sommes. A bientôt. Suzâme
RépondreSupprimerMagnifiquement pensé ....
RépondreSupprimerbonne soirée Anne
Bises