pour toi, Joëlle
je
ne suis
pas
et
suis
tout
dans ce retrait
du miroir
ce temps
du silence
pour être
l’autre
l’hôte
entendre
et
devenir
l’arbre
et
cette vie
de
la sève
fusion des feuilles
qui se
transforment
en
pétales
de timidité
fragilité de
l’être
et
de la
terre
supplication
du
bourgeon
sur terre nous sommes peu de choses
RépondreSupprimerNous sommes à la fois ce tout et ce rien. En chacun et au-delà de chacun est une grande richesse. Puissions-nous l'apercevoir.
SupprimerIl y a comme des affinités entre l'âme et toute manifestation vivante de la nature. Je ressens chaque fois fortement ton approche et celle de Joëlle. A bientôt. Suzâme
RépondreSupprimerIl y a comme une écoute de l'âme à toute manifestation vivante, une écoute et une attention. JE n'est pas plus grand ni plus petit que l'arbre ou la brindille. La terre respire en chacun et Joëlle a ce regard-là, profond. A bientôt Suzâme.
SupprimerNous sommes tous des bourgeons...
RépondreSupprimerEt je veux entendre le chant du printemps dans tes mots, ton chant du printemps ! Bien à toi, Quichottine
SupprimerIl a toutes les promesses en lui, il ne lui reste qu'à être. Il fait ainsi advenir le printemps pour tous. Amitié. Joëlle
RépondreSupprimerJe pense à une certaine revue, une certaine iconographe et ce qu'elle a pu me dire à propos de ses propres photos. Peut-être, peut-être si j'écrivais sur le thème proposé, inspirée par une photo... peut-être le tout serait accepté. Amitié à toi. Anne
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