La brise
légère
se lève
sur la
terre
endormie
et
l’arbre
grandit
déploie
ses ailes
effeuillées
l’oiseau
retrouve
son nid
de son
petit bec,
il le
répare
le
prépare
dépose
son
chant
d’espoir
dans les
derniers cristaux
de glace
qui s’offriront
à la
terre
terre
Un mariage parfait, celui de l'oiseau et de l'arbre.
RépondreSupprimerHélène*
La glace messagère d'un espoir de l'air à la terre, de la chaleur d'un chant, celui de la vie.
RépondreSupprimerUn merveilleux poème...
RépondreSupprimerMerci, Anne.
J'aime cet espoir de l'oiseau.
Passe une douce journée.