J'entends j'entends, Maman la peur des hommes cette soif de vie cette sueur de mort en eux ce coup de poing sur la table sur un visage pour croire être toujours et s'affirmer tu sais si j'avais encore ce don des miracles j'aimerais déposer cette main qui se venge ce poing empli de haine d'égoïsme et d'incertitude sur les pétales du coquelicot dans sa fragilité ce souffle de Vie
Qu'il est bon de lire tes mots, gifle et caresse à travers la réalité et l'espérance. L'enfant porte déjà toute sa vie...et il regarde sa mère et il entend le monde... Suzâme
Si seulement les humains arrêtaient leurs combats pour venir l'écouter ! Amitié. Joëlle
RépondreSupprimerEt qu'elle y trouve une nouvelle douceur et l'oubli...
RépondreSupprimerDouce journée, Anne.
Qu'il est bon de lire tes mots, gifle et caresse à travers la réalité et l'espérance. L'enfant porte déjà toute sa vie...et il regarde sa mère et il entend le monde... Suzâme
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