J'ai posé
mes pieds
nus
sur le sable
la terre.
Sous les grains,
sur
les
racines
et
j'ai senti
ce frémissement
indicible
de la vie
j'ai
su
j'ai su
ce chemin incertain
qui est mien,
qui est
nôtre,
cette force,
cette palpitation,
cette vibration
de l'infime
qui se donne
Alors,
alors j'ai compris
que l'homme
ne portait rien...
©Anne L S
Je ne sais... j'espère qu'il est toujours porteur d'espoir.
RépondreSupprimerPasse une douce journée.
Il s'agissait là du fardeau que l'homme porte, parfois à contre cœur. Je crois sincèrement qu'il faut nous délester, oser tout déposer et avoir confiance. L'oiseau s'inquiète-t-il de demain ?
SupprimerBelle soirée à toi
Anne
À moins qu'il ne "porte" tout en lui et que ce tout s'exprime quand il ne "porte" plus rien pour l'alourdir...
SupprimerAmitié Anne, un sourire du soir, léger, léger.
Bien sûr qu'il porte tout en lui s'il ose enfin libérer ses épaules, en lever sa grande cape d'orgueil et entendre
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